Granulés de chanvre : une alternative aux pellets de bois pour alimenter son poêle

Moses/ Pixabay

Granulés de chanvre : une alternative aux pellets de bois pour alimenter son poêle

Quelques articles en ligne parlent des granulés de chanvre comme alternative pour alimenter les poêles à granulés. Avec la hausse des prix des granulés de bois et l’approvisionnement pas toujours évident, je me demande si ce combustible pourrait être pertinent pour mon poêle ? Virginie H.


Réponse de Julie Barbeillon, directrice de la rédaction de La Maison écologique

Bonjour Virginie. Effectivement, la hausse des prix des pellets de bois a fait émerger sur le net quelques articles sur le sujet – notamment un surtout, pour être exacte, repris plusieurs fois et malheureusement très mal sourcé. Votre question nous a donc donné l’occasion de mener notre propre enquête.

Première étape chez Propellet, association nationale des professionnels du chauffage au granulé de bois : « Les agropellets se développent en France, mais pour des usages non domestiques. Leur fabrication industrielle assure une régularité de qualité du produit (café, paille…). Les caractéristiques chimiques des agropellets peuvent être très agressives pour les appareils et les conduits de fumée, prévient Éric Vial, délégué général. On commence à travailler sur des granulés de feuillus ou des mixtes feuillus-résineux. Il s’agit de bois “en fin de course”, essentiellement issus du compactage de produits connexes de scieries, tels que la sciure et les copeaux. »

Côté producteurs de chanvre ? « En France, ce n’est, pour l’instant, pas du tout un marché qui se développe. Nous n’avons pas d’activité dédiée à la production d’énergie pour le chanvre. Parmi nos adhérents, à ma connaissance, seule Planète-Chanvre [association de producteurs et usine de défibrage, ndlr] a testé ce type de produit », confie Nathalie Fichaux, directrice d’InterChanvre, l’association nationale fédérant les acteurs de la filière, dont 1 500 producteurs. Planète-Chanvre commercialisait effectivement des briquettes de poussière de chanvre compressée (format plus grand que les granulés). éric Grange, son directeur, raconte : « Nous avons arrêté la commercialisation des briquettes de chanvre car il nous fallait rénover la presse pour un marché qui, à l’époque, était peu développé. Le débouché concernait avant tout des particuliers alimentant leur cheminée ou insert. Il y avait peu d’intérêt pour les chaufferies car le taux de cendres était élevé. Finalement, nous avons trouvé d’autres débouchés pour notre poussière. Je crois que le pouvoir calorifique est très variable selon le type de poussière et le stade de filtration dans l’usine de défibrage. Le pouvoir calorifique est sûrement plus important si vous utilisez de la chènevotte, la partie boisée à l’intérieur de la tige, au lieu de la poussière. »

Et côté fabricants et distributeurs de poêles à granulés ? « En trente-six ans de métier, c’est la première fois que j’entends parler des granulés de chanvre. Nos machines sont calibrées pour brûler un certain type de granulés, les réglages sont précis. Je ne pense pas que ce soit adapté », réagit le distributeur Jøtul de La Chapelle-des-Fougeretz (35). Sur sa FAQ en ligne, le fabricant de poêle à granulés MCZ explique ce qui peut se passer si on utilise du granulé non certifié : « Lorsque l’on utilise du pellet de faible qualité, le poêle se salit vite et doit donc être nettoyé plus souvent. Avec un pellet à faible pouvoir calorifique, le poêle ne parvient pas à atteindre les rendements déclarés par le producteur et brûle donc beaucoup de pellets sans chauffer assez. En brûlant du pellet trop calorifique, par contre, par exemple les pellets sombres, comme le pellet de chêne, il peut arriver que les parties internes de la chambre de combustion se déforment et doivent donc être remplacées. Le remplacement des parties endommagées n’est pas couvert par la garantie en cas de non-utilisation du pellet adapté, comme spécifié dans le mode d’emploi. »

En résumé : le chanvre en granulés combustibles n’est pas encore arrivé en France, sauf à trouver des sacs provenant du Canada (merci le bilan carbone !). Seuls les granulés composés de chènevotte, et non de poussière, sont désignés comme combustibles a priori adaptés aux appareils de chauffage domestique, mais les producteurs de chanvre ne sont pour l’instant pas en recherche de nouveaux débouchés pour leur chènevotte (qui sert aujourd’hui de litière animale et d’isolant). Et, à ce jour, aucun fabricant de poêles à granulés n’a, à notre connaissance, fait savoir qu’il garantissait ce combustible dans ses appareils. Nous restons donc en veille sur ce sujet pour vous informer d’éventuelles évolutions.

Pour plus de réponses d’experts, rendez-vous sur notre page dédiée https://lamaisonecologique.com/service-web/courrier-des-lecteurs/ 


Vidéo : une rénovation avec 80% de matériaux de réemploi

rénovation réemploi

Chez Raphaël et Julie, le réemploi est roi. Pour transformer cet ancien restaurant du centre-ville de Pau en une habitation bioclimatique, ils ont réutilisé ou détourné les matériaux et équipements de l’ancien bâti ou d’autres récupérés ailleurs.

 

Reportage complet paru dans notre magazine n°133 (février-mars 2023) et vidéo ci-dessous offerte avec grand plaisir aux internautes curieux arrivés jusqu’ici. Lire la suite

Rénovation : Guide des aides financières 2023

Rénovation aides financières 2023

Rénovation énergétique, le Guide des aides financières 2023 est paru

MaPrimeRénov’, Certificat d’économies d’énergie (CEE), “Coups de pouce” des fournisseurs d’énergie, TVA à 5,5 %, chèque énergie, aides des collectivités locales, éco PTZ… Vous êtes perdus dans les méandres des aides financières pour rénover votre logement ? Voici le tout nouveau guide 2023 publié par France Rénov’. Il recense toutes les aides existantes pour rénover un logement, ainsi que les équipements et matériaux éligibles, par tranches de revenus.

Guide à télécharger gratuitement ici

Réaliser des travaux pour améliorer l’isolation, la ventilation, le système de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire, vous permettra :
• de vivre dans un logement plus confortable ;
• de réaliser des économies sur vos factures d’énergie ;
• d’augmenter la valeur patrimoniale de votre bien.

En réduisant vos consommations d’énergie, en installant des systèmes de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire qui fonctionnent avec des énergies renouvelables, vous limitez aussi les émissions de gaz à effet de serre responsables du changement climatique. Pour financer votre investissement, vous pouvez bénéficier d’aides financières de l’État, des collectivités territoriales, des fournisseurs d’énergie et d’autres organismes comme les caisses de retraites. Ce guide vous présente en détail toutes ces aides.

Surtout ne vous lancez pas seul dans votre projet de rénovation : faites-vous accompagner par les professionnels des Espaces Conseil France Rénov’.
Pour estimer le montant des aides que vous pouvez recevoir, trouver le conseiller le plus proche de chez vous, consultez france-renov.gouv.fr

Photo @adobestock-CURIOS


Existe-t-il des peintures naturelles au rendu brillant  ?



Bonjour. J’ai lu votre hors-série sur les peintures naturelles. J’y ai trouvé beaucoup d’informations, c’est bien documenté. Bravo ! Cependant, pourriez-vous m’indiquer quelqu’un qui pourrait me renseigner sur les peintures qui pourraient ressembler à la glycéro ? Je veux dire dans l’aspect fini « brillant ». En effet, je repeins des portes qui étaient faites à la glycéro, je me protège bien pour les poncer, et ma maison étant sombre, l’aspect brillant m’intéresse. Je voudrais trouver quelque chose qui ne soit pas toxique. Pouvez-vous m’aider dans ce sens ? V.-B. S


Réponse de Bruno Gouttry, artisan peintre, auteur et formateur sur les peintures et enduits naturels (brunogouttry.fr), qui a aussi grandement participé à la réalisation de notre toute nouvelle Masterclass peintures naturelles.

Avant la pétrochimie et la mise sur le marché des peintures glycérophtaliques (peinture à l’huile de synthèse), il existait une peinture riche en huile végétale (lin, noix…) appelée « laque » ou simplement « peinture à l’huile ». Peinture utilisée pour protéger les menuiseries, le mobilier extérieur et même les carrosseries de voiture. Peinture résistante aux intempéries, aux lessivages et aux frottements. Heureusement, cette peinture existe toujours et a gardé le même nom « laque ». Il en existe deux sortes : une dite à l’eau et une aux solvants. Les deux font le même travail. Mais je préconise celle avec solvant pour ce genre de rénovation. La plupart des fabricants de peinture naturelle en produisent. Renseignez-vous chez votre revendeur de produits naturels pour l’habitat.

Complément de réponse de la rédaction de La Maison écologique : Pour en apprendre encore d’avantage sur les peintures naturelles, n’hésitez pas à suivre notre première masterclass sur le sujet, une formation en ligne en 12 vidéos + bonus, réalisée en partenariat avec Bruno Gouttry et Faisons le mur.

Infos et inscriptions > www.sommet-masterclass-kaizen-la-maison-ecologique.com/lme-masterclass-peinture


Ils ont conjugué le passé au présent



En rénovant cette vieille maisonnette en pierre, Alice et Matthieu ont métamorphosé ce logis vétuste de Loire-Atlantique en cocon très performant et économe, tout en préservant les traces de ses vies antérieures.

Reportage paru dans notre hors-série n°16 La Rénovation performante et écologique et offert avec grand plaisir aux internautes d’un jour ou de toujours visiteurs curieux de notre site Internet. Lire la suite


Le DPE, entre erreurs et report



 DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

Une nouvelle enquête de l’UFC-Que choisir (n°617, octobre 2022) accable le manque de fiabilité du nouveau diagnostic de performance énergétique (DPE) et son usage par les diagnostiqueurs. En alerte depuis son lancement, le magazine révèle que sur sept maisons sélectionnées par ses soins et ayant fait l’objet de quatre à cinq DPE, six présentent des écarts importants, dont une maison « basse consommation » classée de B à E  !!
Le magazine impute notamment ce manque de fiabilité aux lacunes des diagnostiqueurs dont les calculs et les préconisations de « travaux essentiels » ont été passés à la loupe.
En août, le gouvernement avait déjà repoussé au 1er avril 2023 l’entrée en vigueur de l’obligation d’audit énergétique pour la mise en vente de maisons ou immeubles classés F ou G prévue au 1er septembre. Un double revers pour le DPE, qui inclut dorénavant les émissions de CO2 de l’habitat, en plus des consommations énergétiques.
Brèves d’actualités extraite de notre magazine n°132, disponible en kiosque jusque fin janvier 2023 et ici sur notre site.

 

Photo : Wjarek /AdobeStock


Une dernière demeure écolo…

dessin-funerailles-écologiques

Dans un marché funéraire juteux et peu scrupuleux, les alternatives écologiques fleurissent. Pour que l’impact de votre dernier soupir ne plombe pas celui d’une vie écoresponsable, voici la marche (funèbre) à suivre.

Article de Gwendal Le Ménahèze paru dans notre magazine n°119 (octobre-novembre 2020) et offert avec grand plaisir aux internautes de notre site Internet.

Quand certains meurent, d’autres demeurent… Notre dernière demeure peut être un vrai poison pour les générations futures et la planète : pollution des sols, des nappes phréatiques, de l’air, surconsommation de matières plus ou moins naturelles et d’énergies fossiles… Mais « à toutes les étapes des funérailles, rassure Manon Moncoq, doctorante en anthropologie du funéraire et de l’environnement, il existe des alternatives écologiques applicables sans attendre que change la législation », scellée par un influent lobby.
« La France est un des seuls pays où le cercueil est obligatoire pour toute inhumation ou crémation, dénonce Sabine Le Gonidec, cofondatrice de la Coopérative funéraire de Nantes. Ajoutez le statut des cendres identique à celui du corps humain, ça fait des leviers juridiques à faire sauter avant d’arriver à introduire d’autres pratiques, ne serait-ce que se faire inhumer en pleine terre dans un linceul biodégradable. Le Canada utilise des cercueils de prêt réutilisables pour les crémations. » Lire la suite


Autoconstruction : un an de travaux à budget riquiqui

Autoconstruction petit budget

Deux ans de conception pour seulement un an de travaux en autoconstruction, menés par ces deux aides-soignants du Maine-et-Loire en respectant leur budget ultra-serré. Une prouesse relevée sans pression et avec passion.

Article paru dans la rubrique Autoconstruire de notre magazine n°119 (octobre-novembre 2020) et offert avec grand plaisir aux internautes d’un jour ou de toujours visiteurs curieux de notre site Internet.

Texte et photos Gwendal Le Ménahèze (sauf mention contraire)

Autoconstruction rime souvent avec tensions, exténuation, séparation. Mais pas dans le dictionnaire de Lydie et Jean-Charles Noguès. Les pièges ne manquaient pourtant pas pour ce couple d’aides-soignants qui a mené son chantier en autoconstruction quasi totale sur un an seulement, tout en gardant leurs emplois à plein temps et en élevant leurs trois premiers enfants. Sans aucun retard, ni dépassement d’un budget très serré, leur projet a plutôt rimé avec parfaite sérénité. Un exploit qui ne doit rien au hasard… Lire la suite


Charentaise et caleçon-long :
 confort et sobriété énergétique par l’habillement !



Investir pour son quotidien dans des habits qui prennent soin 
 de la planète et du porte-feuille en économisant l’énergie !

Incub’, think-tank spécialisé dans les problématiques énergétiques actuelles, prône des solutions low-tech et ré-humanistes. Son blog est depuis plus de 5 ans un lieu de réflexions énergétiques variées. Un de ses articles phares traite de l’impact de l’habillement, et en particulier des sous-vêtements thermiques pour améliorer le confort et diminuer les consommations énergétiques de chauffage des bâtiments.

Début septembre, Incub’ a lancé sa première gamme de caleçons-longs (leggings) et de Charentaises made in France : des produits permettant de baisser les consignes de températures de 1,5 à 2°C (sans diminution du confort) et de réduire les consommations d’énergie de 20 à 40%.

Où en sommes-nous en septembre 2022 ?

Les prix de l’énergie explosent, les signes du bouleversement climatique se multiplient. Le gouvernement et même Total ou Engie lancent des appels à la sobriété énergétique. En juillet 2022, la Commission européenne a demandé aux états membres de limiter le chauffage à 19°C dans les bâtiments publiques : la diminution des consommations de chauffage est au cœur de toutes les discussions.

Heureusement certains gestes très simples entraînent d’énormes économies d’énergie, permettant de réduire les dépenses des ménages et des entreprises sur un temps très court !
Baisser les températures, pourquoi pas ? Mais est-ce qu’il existe un moyen de baisser la température sans diminuer le confort…?

Comment améliorer son confort thermique ?

La sensation de confort dépend de plusieurs paramètres relatifs à l’environnement (température de l’air, des parois, vitesse de l’air, taux d’humidité…). Agir sur ces paramètres environnementaux implique bien souvent de consommer de l’énergie.

Mais deux autres paramètres, liés aux comportements, modifient également le ressenti :
– Le niveau d’activité, qu’on appelle le métabolisme (quand on court, on a chaud)
– Le niveau d’habillement (c’est celui qui nous intéresse ici !)
C’est un jeu de curseurs : quand on pousse un des curseurs, il faut en baisser un autre pour obtenir un résultat équivalent.

Il est possible de déterminer par le calcul la combinaison de paramètres idéale pour vivre confortablement une activité donnée. Il existe une équivalence entre « changement de vêtement » et « ajustement de la consigne de chauffage ». C’est particulièrement facile dans les bureaux ou en entreprise, où les activités sont prévisibles.

UNE SOLUTION (ou deux ?)

Nombreux sont ceux qui l’ont adopté depuis plusieurs années, sur le terrain : porter des sous-vêtements thermiques procure une sensation équivalente à une élévation de la température ambiante de l’ordre de 1°C à 1,5°C.
Autrement dit, en portant un caleçon-long, on peut baisser la consigne de 1,5°C en maintenant un confort identique. Et selon les lieux, -1,5°C c’est une économie de 15 à 40% sur les consommations.

À la maison comme au bureau, de tels équipements permettent de réduire les factures et d’améliorer la productivité !

Une autre zone du corps est particulièrement intéressante d’un point de vue énergétique : les pieds. La plante des pieds (comme la paume des mains) est dotée d’un système circulatoire particulier : l’anastomose artério-veineuse.
Les veines et artères y sont connectés de telle manière que les échanges thermiques y sont trois fois plus importants que sur le reste de la peau. Donc, la bonne gestion du contact entre nos pieds avec le sol est un paramètre essentiel de notre confort thermique.

Dans la plupart des cas, aujourd’hui, nos portons au bureau des chaussettes fines dans des chaussures à semelles « denses », en caoutchouc ou en cuir. Idéal pour se refroidir à grande vitesse !


La charentaise est une pantoufle traditionnelle, made in France, dotée d’une semelle de feutre (isolante donc) et fourrée en pure laine (isolante donc).

C’est de faite, la chaussure idéale pour un travail de bureau ou sédentaire.

>> Suivez la campagne de financement participatif d’Incub’ <<

À PROPOS d’INCUB’

Incub’ est un ovni des approches énergétiques. Son co-fondateur, Pascal Lenormand, travaille depuis plus de 20 ans sur le lien entre thermique humaine et usages de l’énergie. Après plusieurs années au sein des plus grands groupes de textile outdoor, il était temps d’appliquer ces découvertes à notre transition énergétique.

Incub’ se définit aujourd’hui comme “le contraire d’un fournisseur d’énergie”. Ses interventions permettent de réduire massivement les consommations énergétiques dans les bâtiments privés comme publics, en minimisant les investissements par l’usage de solutions passives, low-tech et ancrées dans le réhumanisme.

Investissez dans des habits qui prennent soin de la planète, du porte-feuille… en économisant l’énergie !

Ça n’est ni high-tech, ni ultra tendance, ni compliqué, c’est tout simplement efficace. Ça fonctionne, tout de suite, en vrai, et pour pas cher.
En tant que vraie personne, dans le vrai monde, qu’est-ce qui vous tiendra chaud cet hiver ? Des histoires marketing ou des objets conçus pour votre confort ?

Prêt pour investir dans un caleçon-long ou des charentaises ? >> Engagez-vous dans la campagne de financement participatif d’Incub’ << qui coure jusqu’au 18 octobre. A vos charentaises !

 

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Sobriété sauce La Maison écologique

mode de vie sobriété

Sobriété, sobriété, sobriété… alors que les pages de notre magazine fourmillent depuis 20 ans de conseils pour vivre la sobriété en toute sérénité, depuis quelques jours le mot est arrivé sur toutes les ondes, dans tous les médias. Et malheureusement, rarement sous des aspects positifs puisque la sobriété serait synonyme de contrainte pour tout ces découvreurs des effets du changement climatique…

Alors pour vous donner à voir de beaux projets tout en sobriété, nous avons eu envie de vous présenter une mini mini sélection de nos articles inspirants sur ce sujet, à retrouver dans nos magazines d’archives :

-N°129, La Maison écologique, rénover un pavillon en basse consommationReportage sur une rénovation en quête de sobriété

Du pavillon 1970 à la basse consommation (à retrouver dans LME 129)

 

 

Cahier pratique pour apprendre à construire une marmite norvégienne

Un équipement low-tech pour finir de cuire sans énergie (à retrouver dans LME 122).

 

fabriquer une cuisinière de masseNotre dernière enquête sur la cuisson au bois

Autonomie en cuisine, allumez le feu… de bois (à retrouver LME 121)

 

 

Récupérateur de chaleurNotre test produit sur les récupérateurs de chaleur sur eaux usées

à retrouver dans LME 85

 

 

 

Isolation extérieureNotre dossier Pourquoi et comment isoler sa maison par l’extérieur

à retrouver dans LME 120

 

 

 

 

Notre tout dernier dossier, Ils vivent Low-tech

à retrouver dans LME 131ils vivent low-tech

 

 

 

 

besoin de logements si grands ?
Notre hors-série dédié aux milles et une joie de la sobriété

Réduisons la taille de nos logis (LME HS 13)

 

 

 

 

 

Pour les plus curieux d’entre vous, n’hésitez pas à parcourir les pages sommaires de nos anciens numéros, car nombreux sont nos sujets qui invitent à la sobriété. Bonne découverte…