Les toitures : Coiffé d'une toiture végétalisée 3/5

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Par Christophe Trehet

Publié le 17 janvier 2025

9 minutes de lecture


S’il affiche de multiples vertus, en particulier en termes de biodiversité et d’adaptation aux canicules, le toit végétal peine à s’émanciper des fournitures pétrochimiques.

Couvrir la toiture tout en isolant le logement, réduisant les points chauds en cas de canicule, favorisant la biodiversité en zone urbaine, verdissant les paysages des villes, contribuant à la gestion des pics d’eaux pluviales... Les toitures végétalisées offrent tout ce panel d’aménités. On en dénombre trois types, en fonction de la végétation qu’elles abritent et, par rebond, du support qui accueille celle-ci.

Les végétalisations extensives correspondent à des couvertures végétales de faible hauteur, à savoir des plantes couvre-sol de type succulentes (sedum...) ou des graminées dont le substrat de culture est peu épais, d’une hauteur d'environ 10-12 cm pour garantir un minimum de rétention d’eau et de couche de culture. « Elles se destinent plutôt au dernier étage des bâtiments, sur des toitures auxquelles on n’accède pas », précise Brice Rodriguez, cogérant de l’Atelier du végétal, spécialisé dans les toits végétalisés, restreignant la richesse du couvert végétal.

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