Souffle nouveau pour leur maison paysanne

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Par Christophe Tréhet

Publié le 26 janvier 2024

15 minutes de lecture


Normandie

Flanquée d’une extension quinquagénaire maçonnée en béton de ciment, la longère normande a fait l’objet d’un traitement différencié au Nord et au Sud. Pour Diane et Maxime, il fallait assurer la perspirance et préserver l’esthétique.

Avant de s’installer dans la vallée de la Risle, en Normandie, nichée dans un écrin de verdure où se déploie leur terrain de 1,2 ha situé en pied de coteau, Diane et Maxime Corteel vivaient en ville en Allemagne. Les deux trentenaires pratiquant déjà exclusivement le télétravail, le choix de vivre à la campagne est plus simple lorsqu’ils décident de revenir en France avec leurs deux enfants en bas âge. Seules exigences : « Être proches d’une gare et de commerces où se rendre à vélo, des écoles accessibles et ne pas manquer d’eau en été », se souviennent-ils. La maison qu’ils achètent en 2020 est une longère à colombages du XVIIIe siècle flanquée d’une extension en pierre et béton de ciment datant des années 1950. « Une vraie passoire thermique… Au début, dans notre chambre à l'étage, on atteignait péniblement 8°C en hiver malgré le chauffage à plein régime ! », se souvient Diane. Au-delà du rafraîchissement esthétique et des aménagements que nécessite cette habitation, une rénovation énergétique s’impose d’urgence. « Quand tu dépenses 3 000 l de fuel par an, tu n’hésites pas ! », confirme Maxime.

Au début, dans notre chambre à l'étage, on atteignait péniblement 8°C en hiver malgré le chauffage à plein régime !

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