L'art du contreventement en construction bois

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Par Christophe Tréhet

Publié le 19 mai 2025

8 minutes de lecture


Panneaux rigides, voliges, triangulation ; à chaque type de construction bois sa solution de contreventement. Si des variantes émergent, elles ne sont pas aussi sûres que leur version classique.

Le contreventement doit permettre à votre construction de faire face aux efforts horizontaux auxquels elle peut être soumise (les efforts verticaux, essentiellement liés à la gravité, sont gérés par le support de la charge des éléments composant l’édifice). « Ces efforts sont d’abord dus à la force du vent qui pousse contre les façades du bâtiment, mais aussi, selon les territoires, aux forces sismiques(1), explique Christelle Quinonero, cogérante du bureau d’études spécialisé en structure bois Gaujard technologie Scop (84). Le contreventement permet d’assurer la rigidité globale de la "boîte" que forme un bâtiment. Prenez un carton rigide, par exemple ; si l’on supprime les faces inférieure et supérieure et que l’on appuie sur les côtés, le carton se déforme, car il n’est plus contreventé dans les plans horizontaux que sont le plancher et la toiture. »

L'artisan ou l'autoconstructeur qui sortirait des DTU est soumis à une obligation de résultat, non de moyens.

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