Fenêtres : la difficile quête de l’étanchéité sans plastique

abonnés

Partager l'article
Partager sur Twitter
Partager sur Facebook
Partager sur Linkedin

Par Maïlys Belliot

Publié le 26 novembre 2025

11 minutes de lecture


Des alternatives aux matériaux plastiques pour calfeutrer les espaces entre murs et dormants des fenêtres existent. Si elles peuvent assurer l’étanchéité à l’air et à l’eau, leur performance est toutefois jugée relative.

Plastique partout, fuite nulle part. C’est la promesse des produits d’étanchéité à l’eau et à l’air, dit de « calfeutrement », des menuiseries. Lors de la pose d’une fenêtre, dont la dimension est volontairement inférieure à l’encadrement, ils ont pour but de calfeutrer l’espace entre le dormant et le gros œuvre. Un point sensible de l’enveloppe du bâtiment où toute infiltration d’eau et fuite d’air entraîne notamment déperditions thermiques, points de condensation dans les parois et moindre performance de la ventilation double flux.

À ce jour, le DTU 36.5, texte normatif de référence qui définit les Règles de l’art de la pose des fenêtres, répertorie trois types de calfeutrement : le mastic élastomère sur mousse fond de joint pour en ajuster la profondeur d’origine pétrochimique, la mousse polyuréthane (pré-comprimée ou non) imprégnée de résine synthétique ou acrylique, et la membrane autocollante synthétique ou en bitume modifié. Tous à base de plastique ou dérivés.

S’abonner pour avoir accès à l’ensemble de nos articles

Abonnement numérique à partir de
44,00 €/an

Déjà abonné ? Se connecter

S’inscrire à la newsletter

Recevez par mail nos bons plans, sorties, offres spéciales d'abonnement…

S’abonner au magazine

C’est grâce à vous et aux abonnements que nous continuons à produire du contenu.