Dix ans plus tard, promesses tenues pour la maison ossature bois

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Par Patricia Prioton

Publié le 15 juillet 2024

15 minutes de lecture


Touraine

En Touraine, Ludovic a autoconstruit en cinq mois sa maison ossature bois en 2014. Aujourd’hui, le confort alors recherché est toujours là : la ouate de cellulose assure ses engagements, les différents moyens mis en œuvre pour se protéger de la chaleur estivale aussi.

Jamais mieux servi que par soi-même. » Telle pourrait être la devise de Ludovic. Il y a 10 ans, il a autoconstruit avec sa compagne leur maison à La Riche (37). À l’époque, il était artisan créateur – depuis 2008 – de l’entreprise de couverture et de charpente Alter-Iso, spécialisée en écoconstruction et isolation écologique. Son ambition : arrêter de payer un loyer pour acheter un terrain. « En 2013, j’ai cherché un terrain à construire où faire cohabiter logement et activité professionnelle. La découverte d’une parcelle de 600 m2 en zone artisanale, près du Cher, tombait à pic », sourit Ludovic. Dans la foulée, il a la chance de pouvoir acquérir la parcelle voisine de 400 m2, soit au total 1 000 m2.

« L’idée d’autoconstruire ma maison a été rendue possible grâce à une formation ossature bois proposée par le CNDB (Comité national pour le développement du bois), complémentaire de mon expérience professionnelle acquise sur les chantiers pour l’isolation écologique et la couverture », poursuit Ludovic. Aujourd’hui, il assure que sa maison a plutôt bien vieilli : « Pas de stigmates particuliers sauf le bardage en douglas qui grise naturellement, car je n’ai pas voulu appliquer de saturateur pour le traiter. »

Le bardage en douglas grise naturellement car je n'ai pas appliqué de saturateur.

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