Avis d’expert·es : Occulter, isoler, rafraîchir, quels volets choisir ?



Anecdotiques les volets ? Pas vraiment.

Ils sont indispensables au confort d’été comme d’hiver, à la sécurité de la maison et au sommeil des habitants. Roulants, battants, coulissants, « persiennés », quels modèles choisir pour limiter ses consommations d’énergie et diminuer son empreinte carbone ?

Matériaux, forme, fabrication, la diversité des volets bois s’estompe peu à peu face à la praticité du système roulant aluminium ou PVC. Mais au delà de l’esthétisme, la variété des volets cache des réponses adaptées aux besoins spécifiques de chaque construction. « L’enjeu principal des volets, c’est le confort d’été. Les apports de chaleur arrivent principalement par la fenêtre, et dans les années à venir, il va faire chaud », prévient d’emblée le thermicien David Lebannier. Pour éviter la surchauffe, on pense d’abord à la conception architecturale, aux débords de toit, à l’orientation. Les volets sont pourtant le premier outil pour assurer la protection solaire des fenêtres. « La présentation du bioclimatisme classique ne parle pas assez des occultations. Les casquettes sont certes intéressantes, mais elles conviennent surtout à des maisons orientées plein sud », poursuit-il. 

Luminosité et aération

Intimement liés aux fenêtres, les volets une fois fermés, bloquent les rayons de soleil et évitent ainsi l’effet de serre derrière les vitres. Mais dans les faits se retrouver dans le noir, sans voir l’extérieur n’a rien de très réjouissant à la belle saison. Le volet est souvent fermé trop tard et à contrecœur. « Il faut une occultation que l’on a envie de fermer. Le volet doit laisser passer la lumière et offrir un peu de transparence pour voir dehors sans se sentir enfermé », analyse David Lebannier. Encore une fois, rien de nouveau. Les anciens nous montraient déjà la voie à suivre avec les persiennes, ou les volets pleins découpés au centre supérieur d’une forme (cœur, losange), souvent rencontrés dans le Sud de la France. 

Battantes, pliantes ou coulissantes, ces occultations perméables favorisent aussi l’aération de la maison aux heures les plus fraîches, sans perdre en sécurité et en préservant l’intimité des habitants. Très fermés, les volets roulants classiques sont quant à eux moins performants sur le terrain du confort d’été. « Pour bien rafraîchir le logement en ouvrant les fenêtres la nuit et conserver intimité et sécurité, il faut des volets ajourés assurant au moins 50 % de passage d’air une fois fermés. Les modèles roulants à agrafes ou à lames perforées, sont des intermédiaires, mais ce n’est pas optimal », conclut le thermicien. 


Enquête équipement : Menuiseries bois françaises, le retour



Portes ou fenêtres fabriquées dans l’hexagone ? De la conception à la finition, des démarches qualité tendent à améliorer l’offre de menuiserie extérieure en bois française.

Les menuiseries extérieures en bois offrent de nombreux avantages par rapport à leurs rivales en PVC, aluminium ou acier. « Les fiches de déclaration environnementales et sanitaires,  disponibles sur la base Inies mais malheureusement encore trop peu nombreuses, notamment pour les menuiseries bois, permettent de donner une estimation (avec la méthode ACV dynamique utilisée dans la RE2020(1)) de l’impact carbone moyen d’ 1 m² de menuiserie avec vitrage », explique Mathieu Condamin de l’interprofession Fibois 42 qui estime les menuiseries bois à 55 kg équivalent CO2 (75 kg CO2 pour le bois-alu, 83 kg CO2 pour le PVC et 141 kg de CO2 pour l’aluminium, à performance thermique égale). « Le bois a l’avantage d’une faible énergie grise [faibles émissions à la fabrication, ndlr], mais surtout d’une capacité à stocker du carbone. à noter que le vitrage représente un impact non négligeable dans ces résultats, ce qui limite le différentiel entre les différentes menuiseries », poursuit-il.

Leurs performances thermiques font aussi d’elles des alliées pour les écoconstructeurs : le coefficient de transmission thermique (Uf) d’une huisserie bois s’établit en moyenne entre 1,2 et 1,4 W/m².K pour le pin (2,1 à 2,8 pour le chêne), mieux que les 3,4 à 4,9 W/m².K pour l’aluminium et l’acier (avec rupteurs de pont thermique) et les 1,5 à 2,5 W/m².K pour le PVC. « Il est plus simple d’obtenir des menuiseries performantes avec du bois et c’est pour cette raison que les triples vitrages sont généralement associés aux bois », explique Marc Sigrist, du FCBA, l’Institut technologique forêt cellulose bois-construction ameublement. Il souligne par ailleurs les qualités mécaniques du bois qui permettent, contrairement au PVC, des menuiseries grand format. La performance acoustique, elle, dépend essentiellement du vitrage et ne discrimine pas un type d’huisserie.


Cahier travaux : Déposer et poser ses fenêtres soi-même

fenêtres CAHIER TRAVAUX La Maison écologique 128

Pour une bonne rénovation thermique, changer ses fenêtres peut faire une vraie différence. À condition de réaliser une bonne étanchéité à l’air. Marche à suivre.

Changer ses fenêtres est souvent la première chose à laquelle pense le particulier pour améliorer le confort thermique de son logement. Pourtant, les ouvertures ne représentent que 10 à 15 % des déperditions de chaleur. Contre 30 % pour le toit et 25 % pour les murs. Le changement des fenêtres doit donc se faire en tenant compte de tous les paramètres thermiques de l’habitat. Le mieux reste de rénover la totalité de la maison en une seule fois. Quand cela n’est pas possible, il faut s’adapter ! C’est le cas dans cette maison de ville des années 1900, située en plein cœur de Tours (37) et dont l’isolation thermique par l’intérieur (ITI) sera réalisée ultérieurement.

Feuillure originelle retrouvée

Le choix des fenêtres s’est porté sur des menuiseries bois (pin) de la marque française Bieber avec un double vitrage phonique et Securit (retardateur d’effraction) 44.2 acoustique/16/8. « Afin de respecter au maximum le cachet de la maison, les clients ont opté pour la gamme Inova mf (monument de France) : les joints de solin sont apparents à l’extérieur, les rejets d’eau sont directement posés sur les traverses basses et la pièce d’appui est traditionnelle (pièce en bois saillante) », indique Raphaël Derré, menuisier spécialisé en écoconstruction. Lors de la rénovation, la feuillure originelle en pierre, comblée lors d’une précédente rénovation avec de la brique, réapparaît, prête à accueillir les nouveaux dormants très épais (68 mm) qui assurent une bonne performance. Les compribandes, elles, garantissent une bonne étanchéité à l’air et à l’eau.

Coûts :

• Fenêtre Bieber phonique, 92 kg (l 1 240 x h 1 790 mm) : 1 345 € HT

• Tapées de persiennes : 110 € HT par fenêtre

• Autres coûts matériaux : 111 €

Outils :

• Disqueuse

• Burineur

• Scie sabre

• Marteau

• Tournevis

• Visseuse-dévisseuse

• Pied-de-biche

• Mètre

• Niveau

• Règle de niveau

• Burin

• Serre-joints

• Scie circulaire

• Pulvérisateur à eau

• Perforateur

• Visseuse à choc pour vis béton

• Spatule de plâtrier

• Fil à plomb

• Truelle ou langue-de-chat

• Bâches de protection

Matériaux : 

• Planches de coffrage bois

• Fenêtre Bieber

• Ciment naturel prompt

• Tapées de persiennes

• Mortier patrimoine à la chaux aérienne

• Mortier adhésif 

• Joint colle

• Peinture

• Compribandes (type Contega Fiden Exo Pro clima)

• Vis béton de 7,5 x 150 mm (sans chevilles possible dans des corps pleins comme
la pierre)

• Vis de 5 x 60 mm bichromatée standard 

• Clé BTR


Travaux: Escalier gain de place, la marche à suivre

Escalier gain de place

Escalier à pas décalés

Confectionner un escalier à pas décalés ou “Japonais”, dont les marches entaillées réduisent l’encombrement.

Les marches d’un escalier à pas décalés ou « japonais » sont entaillées en quinconce, réduisant son encombrement tout en conservant un confort d’usage grâce à des hauteur et profondeur de marche proches de la normale. Mieux vaut toutefois « le réserver aux passages peu fréquents et attention à partir du bon pied ! », prévient Léna Mounier, ingénieure gérante de Luchta Bois (83). Ce type d’escalier nécessite une trémie réduite, qui rogne donc moins sur la superficie utile de l’étage. Avec 250 cm de sol à sol et un passage de tête à 190 cm, la longueur de trémie peut être de 160 cm contre 280 cm pour un escalier classique. L’emprise au sol est aussi réduite de 129 cm.

Léna Mounier conseille de « favoriser les essences dures, chêne, hêtre ou frêne, qui marquent moins que l’épicéa, le pin ou le sapin et sont plus résistantes – mais aussi plus chères. Les panneaux lamellés-collés assurent une bonne stabilité du bois ».

Les bienfaits de la chute

Il existe des panneaux plus petits, mais ici la longueur des limons est de presque 3,15 m. Les chutes peuvent servir à fabriquer des étagères ou un garde-corps (judicieux pour cet escalier assez raide). « On peut utiliser du bois brut, moins cher, mais le chantier nécessitera beaucoup plus de temps et d’équipements pour dégauchir et raboter le bois, voire le déligner, réaliser des collages… »

La pose de l’escalier dépend du contexte. « En général, mieux vaut l’assembler au sol et le lever ensuite. Il est parfois possible de le poser au fur et à mesure dans son emplacement définitif, mais s’agissant d’un escalier gain de place, on dispose souvent de peu d’espace autour et le vissage ou l’encastrement des marches peut vite devenir impossible », avertit Léna Mounier.


Alternative : du réemploi de tout bois

Réemploi de bois

L’homme qui murmure à l’oreille des vieux chevrons

Dans la grange familiale de Jean Rapp, à 25 km de Strasbourg,chaque porte, chaque meuble, chaque poutre raconte une histoire. En effet, cet amoureux du patrimoine alsacien a entièrement restauré la bâtisse qui lui sert d’atelier. Pour ce faire, cet ébéniste iconoclaste a collecté des matériaux dans un rayon de 50 km environ. Les poutres sablières basses proviennent du village voisin. Les encadrements de fenêtres en grès des Vosges sont les anciennes marches d’un autel. Les boiseries murales de son bureau sont issues d’un vieux plancher retourné. La splendide fenêtre à cives du XVIIe siècle entre son bureau et son atelier a été récupérée dans un vieux corps de ferme alsacien. Les petits disques de verre qui la constituent, obtenus par soufflage et montés au plomb, ont été patiemment restaurés par l’artisan.


Matériaux : Menuiseries, pour une pose réussie



Menuiseries, pour une pose réussie

Choisir une bonne menuiserie n’est pas suffisant si la pose n’est pas irréprochable du point de vue de l’étanchéité à l’eau et à l’air. Comment s’assurer que le travail a été réalisé correctement et au juste prix ? Quelle option retenir en rénovation ?

La qualité des menuiseries pose assez peu de soucis, car il est rare que les fenêtres proviennent de destination exotiques. En outre, plusieurs labels et marquages garantissent la qualité : FCBA (France), PfB (Allemagne), Maison Passive, Menuiseries 21 et, a minima, CE ou NF. Il en va autrement de la pose, pour laquelle l’erreur humaine ou, pire, le manque de sérieux, est toujours possible. Il faut en particulier être vigilant envers les sous-traitants de grandes enseignes, qui ont généralement tendance à travailler un peu vite.

Néanmoins, sur les 8 000 audits qu’a menés l’organisme de qualification Qualibat auprès d’entreprises RGE, seuls 4 à 5 % ont révélé des défauts. “Il s’agissait de cas où les cotes avaient été mal prises et où la fenêtre était trop petite ou trop grande, précise Pierre Girard, directeur de la politique Technique de Qualibat. Les joints d’étanchéité ne pouvaient pas remplir leur fonction et les entreprises bouchaient avec de la mousse expansive.”

Le recours aux mousses polyuréthane expansives est en effet à bannir. Elles ne garantissent pas l’étanchéité de la menuiserie et tiennent mal dans le temps. En outre, comme leur propriété est de gonfler, elles font pression sur les profils et risquent de les déformer, rendant l’ouverture et la fermeture des fenêtres difficiles.

Soigner l’étanchéité

Si les fenêtres ne sont pas étanches, les infiltrations d’air vont non seulement générer de l’inconfort, mais risquent aussi de créer des points de condensation pouvant dégrader menuiserie et bâti. Quant aux infiltrations d’eau, elles sont fatales pour la construction. “Quand l’eau dégouline à l’intérieur de façon visible, le sinistre est vide identifié, reléve Pierre Girard, mais l’eau peut aussi s’infiltrer dans les allèges.”

 


Enquête : comment choisir les menuiseries

choisir les menuiseries

Les portes et fenêtres remplissent des fonctions essentielles dans l’habitat : apport de lumière naturelle et d’énergie solaire gratuite, protection thermique et acoustique. Il est essentiel de comprendre comment elles fonctionnent pour faire les bons choix.

Le premier point de vigilance, au moment de choisir les menuiseries pour sa maison, concerne la surface de vitrage elle-même. Quiconque a des notions de bioclimatisme a retenu qu’il fallait privilégier les grandes ouvertures au sud pour bénéficier d’apports solaires passifs et limiter la taille des vitrages au nord. Le souci est que l’isolation et l’étanchéité des logements ont fortement progressé. Ainsi, de grandes ouvertures au sud peuvent rapidement devenir des sources de surchauffe, que l’on habite dans le sud de la France ou dans le nord.


Menuiseries intérieures



Les menuiseries intérieures servent à circuler dans les différentes pièces séparées par des cloisons. Contrairement aux menuiseries extérieures, elles n’ont aucun rôle thermique et ne sont pas soumises aux intempéries.

Généralement en bois, on les trouve également en aluminium, en PVC, en composite… Ou encore en verre ! Sous forme de porte vitrée ou de verrière intérieure, ce matériau a le gros avantage de laisser passer la lumière du jour, ce qui peut être intéressant si l’une de vos pièces de vie n’a que peu ou pas d’accès à la lumière naturelle.

 

Concernant les dimensions, on trouve des portes de 63, 73, 83 ou 93 cm de large et dont la hauteur est au minimum de 2m. La taille standard d’une porte est de 2,04m de haut pour 83cm de large, car cette dimension permet de faire passer un fauteuil roulant. Les tailles de vos portes sont à décider dès la conception de votre maison.

 

Avez-vous déjà remarqué cet espace entre le sol et votre porte ? Il s’agit du détalonnage. Cet espace permet de favoriser la ventilation dans votre logement. Sa hauteur, entre 1 et 3cm, dépend de la pièce concernée et du type de ventilation de votre maison.

 

Enfin, il existe différents systèmes d’ouvertures pour vos portes : battantes (très classique), pivotantes (très peu courant avec un style très contemporain), coulissantes et/ou pliantes (idéal dans les petits espaces).

Questions à se poser

Quelles dimensions pour mes menuiseries intérieures ? Les plus petites coûteront moins cher, mais les plus grandes seront plus pratiques. Réfléchissez à vos besoins avant de choisir la taille de vos portes.

Points de vigilance

Les menuiseries intérieures sont une continuité des cloisons : attention à choisir des portes avec un comportement acoustique convenable.

Sélection d’articles/dossiers pour Menuiseries intérieures :

Dossier : Cloisons écologiques, séparations réussies !

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Menuiseries extérieures



Les menuiseries extérieures sont les portes et les fenêtres donnant sur l’extérieur. Elles ont une importance capitale dans une maison : apport de lumière naturelle, protection thermique, esthétique, confort…

Plusieurs critères sont à prendre en compte lorsqu’on choisi ces éléments.

Le matériau utilisé

On trouve des menuiseries en PVC (non renouvelable et contient des substances toxiques), en aluminium (recyclable mais lourd bilan énergétique) et en bois (notre préféré). Ce dernier est l’option la plus écologique, surtout si on choisit un bois local. Il existe même des traitements écologiques du bois, par la chaleur, pour assurer aux menuiseries une longévité d’au moins 50 ans !

 

Les coefficients

Il existe plusieurs coefficients pour caractériser les menuiseries vitrées. Le Uw (coefficient de transmission thermique en W/m2.K) doit être le plus faible possible. Aujourd’hui, on considère qu’une menuiserie performante a un Uw inférieur à 1,3. En triple vitrage, on peut même être en dessous de 0,7.

Le deuxième coefficient est le Sw. Il s’agit du facteur solaire, qui se situe entre 0 et 1 : plus le Sw est proche de 1 (aujourd’hui un double vitrage est autour de 0,65) et plus la chaleur du soleil peut entrer dans la maison.

Le coefficient de transmission lumineuse, TL, est le dernier indicateur qui nous intéresse. Également exprimé entre 0 et 1, il exprime la capacité du vitrage à laisser entrer la lumière naturelle. Un double vitrage se situe vers 0,8 contre 0,7 pour un triple vitrage.

 

Le nombre de vitrages

Le simple vitrage, c’est bien simple, ça n’existe presque plus ! On a donc le choix entre du double ou du triple vitrage. L’avantage du triple vitrage, c’est le confort. En effet, même s’il fait très froid dehors, sa température de surface est plus élevée qu’un double vitrage, ce qui évite la sensation de paroi froide.

Le double vitrage laisse cependant un peu mieux passer la lumière du jour et est 4 à 10% moins cher selon les performances et les modèles.

Questions à se poser

A quel emplacement et quelle superficie de vitrage placer pour avoir le meilleur rapport apport solaire/confort thermique ?

Il est possible de différencier les vitrages : triple vitrage au sud, double à l’est et à l’ouest… Est-ce pertinent pour mon projet ?

Quel gain énergétique permettrait l’investissement dans un triple vitrage ?

Pour quel type de pose (en tunnel, en applique, etc.) opter? Ce critère influe notamment sur la performance thermique.

Points de vigilance

Il faut maîtriser certaines techniques si l’on veut poser soi-même ses fenêtres pour garantir l’étanchéité à l’eau et à l’air. La pose par un professionnel est fortement recommandée.

Dessinez un schéma d’intégration des menuiseries pour éviter les erreurs de dimensionnement.

Même un très bon vitrage sera toujours moins isolant qu’un mur opaque isolé : attention à l’entrée des calories en été, qui plus est sur des vitrages fortement exposés (fenêtres de toit et vitrages à l’ouest, par exemple).

Pensez aux brise-soleil et aux volets pour améliorer le confort aussi bien en été qu’en hiver.

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Matériau

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