Consommation : réseau internet local

réseau internet local

Solutions locales pour un réseau mondial.

En France, l’accès à un réseau internet de qualité est aux mains de quelques opérateurs. Ces opérateurs sont concentrés sur les grandes agglomérations. Heureusement, des bénévoles proposent des solutions locales et désintéressées, défendant un internet ouvert à tous et respectueux des libertés fondamentales.

L’accès à Internet est devenu une nécessité pour la plupart des foyers. En effet, pour certains professionnels, la qualité du débit peut même orienter un choix de construction. Le Plan France Très Haut Débit lancé en 2013 promet de couvrir l’intégralité du  territoire en débit descendant supérieur à 30 Mbts d’ici 2022. En réalité, sur le terrain, la France de l’Internet roule à deux vitesses. En outre, entre les zones  denses, dont l’installation en fibre optique est assurée par des entreprises privées (zones AMII), et celles faiblement peuplées, confiées aux collectivités territoriales (Réseau d’initiative publique), le déploiement laisse des aires géographiques de côté. « Le plan gouvernemental fait des promesses de raccordement sur des échéances de deux à six ans.


Avis d’expert : empreinte environnementale du numérique

empreinte environnementale du numérique

Dévoré par l’ogre numérique ?

Si l’appétit énergétique du numérique est aussi gargantuesque, c’est parce que les internautes et les entreprises ne cessent de l’alimenter. Au lieu d’endiguer sa fougue expansionniste, nous consommons à tout-va smartphones, tablettes et autres objets connectés. Or, l’empreinte environnementale du numérique se mesure dès la fabrication de ces appareils, responsables d’une « pollution aquatique et terrestre due à l’extraction des métaux », relève Françoise Berthoud.


Avis d’experts : numérique et impact environnemental

numérique et impact environnemental

Dévoré par l’ogre numérique ?

Au numérique s’associe une poésie de nuages, d’abstraction et d’instantanéité. Apparente allégresse qui cache un monstre énergivore et producteur de gaz à effet de serre… aux internautes d’agir !

Rien n’incarne mieux la connexion Web jusqu’au bout des doigts que le smartphone. Trois quarts des Français l’utilisent quotidiennement. Et le réseau 4G est désormais plus prisé que le Wifi. Facile, rapide, presque magique ? Loin s’en faut. « L’Internet a une empreinte qui se chiffre concrètement », affirme Robin Larzat, diplômé en communication et multimédia. Sur les bancs de l’Institut français de presse de Paris, il a réalisé avec quatre autres étudiants le site Backbone, qui vulgarise le fonctionnement de l’ogre numérique.