C’est la paille qui porte !
Avec l’aide de son ami architecte Boris et de beaucoup d’autres acolytes, Thierry a construit une maison dite en bottes de paille porteuse. Une technique encore rare en France, mais rapide et peu coûteuse.
Avec l’aide de son ami architecte Boris et de beaucoup d’autres acolytes, Thierry a construit une maison dite en bottes de paille porteuse. Une technique encore rare en France, mais rapide et peu coûteuse.
Pour leur première maison autoconstruite, en ossature bois et bottes de paille, Christine et Jésus Ramos ont sollicité un artisan pour les guider et assurer les parties les plus délicates.
Conjuguer performance énergétique, faible empreinte écologique et coût raisonnable, voici la gageure que relève cette autoconstruction passive en bottes de paille réalisée avec la technique Greb. Visite en avant-première avec son concepteur et bâtisseur.
Des murs en paille et en torchis, des enduits terre, de la chaux. Il n’en fallait pas moins pour habiller la magnifique charpente en chêne de cette maison performante, chauffée au bois. Rencontre avec sa propriétaire, quelque part en Ariège.
Une maison dont la paille a été cultivée par les propriétaires eux-mêmes, un couple de paysans de la Loire.
Entièrement remanié, un vieux hangar agricole abrite une belle autoconstruction bioclimatique en bottes de paille et enduits terre.
À Pfalzweyer, dans le nord de l’Alsace, Sandra et Cédric Huber ont misé sur une isolation en paille pour atteindre les critères de la maison passive. Et grâce à un hangar et à la botteleuse du village, leur projet n’a pas dépassé les limites de leur porte-monnaie.
Yourte et chaumière, deux modules ronds pour une seule habitation. Tel est le nid original que Sabine Chouffour et Sébastien Feuillade ont choisi d’autoconstruire.
« Les maisons de nos rêves sont simples, fonctionnelles, peu coûteuses, sobres et privilégient les matériaux de qualité. » Embarquement au coeur de la philosophie de Jean-Daniel et Claire, dans leur aventure d’autoconstructions.
Réhabiliter une grange en habitation tout en respectant l’aspect d’origine. Voici le pari, réussi, de la famille Delagrée-Truffaut. Leur recette : quatre années de travaux, trois naissances, des matériaux locaux et beaucoup d’huile de coude.